TEMOIGNAGES – Le confinement a mis le modèle économique de PASàPAS à l’épreuve. Comment expliquer qu’il ait tenu le choc ? Selon Céline, Laure-Anne, Véronique, Marc, Cédric et Christophe, c’est d’abord grâce au modèle de l’intervention à distance que l’entreprise a pu continuer à servir ses clients comme avant. Mais pas que. Sa résilience s’explique aussi par une alchimie entre des dirigeants qui ont assuré, des collaborateurs qui se sont sentis respectés et un collectif fort et soudé dans l’épreuve. Ces ingrédients, ajoutés à une bonne santé financière, sont autant d’atouts qui donnent envie de rester en action pour continuer d’inventer des liens avec tout l’écosystème.
L’attention portée aux collaborateurs
Pendant le confinement, nombre d’entreprises ont été confrontées aux difficultés personnelles de leurs salariés, et aux aménagements nécessaires, parce qu’il fallait s’occuper des enfants tout en télétravaillant, notamment.
Chez PASàPAS, cette bienveillance est aussi ancienne que l’entreprise elle-même. Se préoccuper du bien-être des équipiers coule de source, qu’ils soient confinés ou pas. Forcément, la période était particulière. « Il y a des gens qui ont demandé à être placés en chômage partiel pour s’occuper des enfants et c’est tout à fait respectable, se souvient Céline Duminil, responsable de la communauté de compétence finances. Alors on s’est organisés en interne. » Et Marc Villageon, Licence manager et également délégué du personnel, de rappeler comment « les congés imposés ont été vus comme un geste de solidarité et facilement acceptés. »
Une entraide dont se souvient Christophe Chambon, responsable de la communauté de compétences BC. Et de livrer un exemple précis. « Je pense à ce salarié dont la femme est aide-soignante à l’hôpital. Pendant le confinement, il devait s’occuper des enfants deux jours par semaine. » La réponse de son manager a été évidente et positive. « Chez PASàPAS, on travaille en confiance, les gens sont responsables. » Et se sentent responsables des autres en les soutenant. « Lors de nos points hebdos, nous veillions toujours à répartir équitablement la charge de travail entre les 50 consultants, » illustre Laure-Anne Grégoire, Team leader logistique à Nantes.
Confiance mutuelle, unanimité et humanité
Cette bienveillance entre les salariés, et ce respect, sont peut-être les attitudes qui frappent le plus ceux qui découvrent les équipes. « C’est lié à une autonomisation, et aux responsabilités dont se sentent investis les gens de cette entreprise » souligne Laure-Anne Grégoire, Team leader logistique. Les raisons de cette implication ? Elles sont liées selon elle « à un bon recrutement. Toutes les personnes embauchées ont cet état d’esprit. » Un mindset à base de confiance mutuelle qui fait partie des critères d’évaluation lors de l’embauche : « Si on a un doute sur les capacités d’une personne, il n’y a pas de doute : c’est non, insiste la Team leader. Les recrutements se font à l’unanimité. Ou ne se font pas ».
Une alchimie qui passe aussi par une bonne humeur, forcément contagieuse, comme l’est celle de Cedrick Césarin. Et il ne l’applique pas seulement à ses collègues par temps de confinement, mais aussi à ses clients, à distance ou quand il travaille dans leurs locaux. « Je me sens bien dans ma famille et je recherche le même bonheur dans mon quotidien au travail. Le rire est essentiel dans ma vie, à la maison et au boulot. Et ce n’est pas parce qu’on rit qu’on bosse mal, au contraire. »
« On est chez nous et pas dans une world company »
Cette drôle d’entreprise qu’est PASàPAS recrute donc de drôles de personnes ? « Il y a beaucoup de gens qui ont connu des expériences professionnelles dans d’autres boîtes, plus grandes et surtout plus impersonnelles », signale Christophe Chambon. Ils sont ravis de travailler dans une entreprise « qui n’est pas une World company », où l’humain prend toute sa place.
Des dirigeants qui inspirent confiance
Pour que l’orchestre PASàPAS déroule parfaitement cet après-confinement, comme il a su exécuter la bonne partition durant ces deux mois, la seule force essentielle et nécessaire est celle du collectif. Mené par des dirigeants qui savent ce qu’ils font : « Notre boîte était déjà gérée solidement avant la crise, ajoute Christophe Chambon. Nos dirigeants savent ce qu’ils font et ils ont choisi des managers qui font la maturité de cette entreprise. Ils ont dans leur équipe des gens qui ont une expertise connue et reconnue. » Et le responsable de la communauté des compétences BC de citer un exemple. « L’un de nos clients a mis un terme à ses prestations extérieures pendant la crise mais il s’est démené pour continuer avec nous. » Pourquoi ce choix ? « Parce que nous avons démontré cette fameuse expertise depuis de longues années et qu’il connaît notre valeur ajoutée ».
« Nos clients ont constaté que notre modèle est pérenne. Il fonctionne même en cas de crise et ils l’ont vérifié »
Laure-Anne Grégoire, Team leader logistique, voit dans ces choix de clients une explication supplémentaire. « Ils ont constaté que notre modèle est pérenne. Il fonctionne même en cas de crise et ils l’ont vérifié. Même les plus réticents au télétravail. ». Des choix purement professionnels donc. Mais s’il y avait autre chose ? Et si, comme le souligne Christophe Chambon, « il y avait un truc en plus qui nous différencie des autres ? »
Un truc, ou des trucs plutôt, que tous égrènent et qui vont de la transparence des dirigeants, et à leur investissement personnel, à l’entraide entre salariés, en passant par la réactivité organisationnelle. Des mots creux ? « Sauf qu’ils se traduisent dans les actes » insiste Véronique Cannoux-Bonté, Chef de projet logistique, qui a rejoint PASàPAS en février dernier. Grâce au confinement, elle a connu une immersion accélérée qui lui a permis de connaître tous ses collègues en quatre semaines au lieu de quelques mois. Et de conclure : « J’ai pu vérifier qu’avoir choisi PASàPAS était le bon choix. »
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