Décrocher la deuxième place dans le classement de l’Institut Great Place to Work qui distingue chaque année des entreprises « où il fait bon travailler », c’est la performance réalisée par PasàPas. L’occasion de braquer les projecteurs sur cette SSII française de 62 personnes fondée en 2007 par d’anciens cadres de SAP, le géant mondial du logiciel de gestion.
Ce qui a frappé le jury pour la mettre sur le podium parmi 90 autres PME prétendantes ? La moitié des salariés possède 42% du capital et 23% de la marge opérationnelle sont reversés aux collaborateurs en partie sous forme d’intéressement. « Concrètement, avec au moins 18 mois d’ancienneté, quel que soit son niveau hiérarchique, on peut prendre part au capital à hauteur de ses moyens financiers », explique le cofondateur Jesus Berecibar. C’est donc le salarié qui réalise l’investissement et non l’employeur qui fait cadeau de quelques actions. Chaque année, l’effectif s’accroît en moyenne de 10 personnes. Selon ce que ces derniers veulent investir, le capital augmente de 1 à 2%.